Tour du monde à vélo : La cuisine Ouzbek
Faisons bref, c’est majoritairement dégueulasse. Toute la cuisine se fait à l’huile de coton. C’est gras et il faut un peu de temps aux intestins fragiles pour s’y faire. Seul le plat national est bon. Il s’agit du Plov qui se prononce dans certaines régions Palov. C’est un plat de riz cuisson pilaf, préparé avec un peu de viande et des carottes. Il en existe plusieurs recettes et nous vous proposerons celle qui nous a le plus enthousiasmé dans notre carnet de voyage numéro 4 sur l’Ouzbékistan.
On trouve partout également des Chachliks, des brochettes de viande hachée mélangée avec de la graisse et recomposée. Parfois les cubes de viande n’ont pas étés hachés et ils sont alors alternés avec des énormes cubes de graisses. D’une manière générale, la viande ne semble bonne ici que si elle est accompagnée d’une bonne dose de gras. Même dans les soupes, les Chorbas, la graisse de la viande flotte. Si on arrive à trouver des plats de spaghettis, les Lagmans, ils sont servis en sauce avec des bouts de viande et de gras.
Aucun fruit ou presque, toute l’agriculture est concentrée sur la culture du coton, et on trouve peu de légumes à l’exception des carottes, des pommes de terre et des choux.
Heureusement, les petits déjeuners sont souvent copieux et accompagnés d’oeufs et de crepes. Mais un repas par jour ca ne suffit pas.
Les Kebabs et les pâtisseries turques nous semblent loin…